Chasteté, plaisirs et confidences fétichistes

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il y a 8 ans

Chasteté, plaisirs et confidences fétichistes

Thèmes : Pipi culotte trio chasteté candaulisme

Par Kokinou

Tout a commencé hier matin lorsqu'en sortant de la douche ma chérie me demanda de

mettre ma cage de chasteté et sa petite culotte de la veille avant de m'habiller pour

ma journée de travail.

J’ai bien entendu obéi sachant que ces demandes l'excitent particulièrement. La journée se passe, la soirée aussi mais mon envie reste, notre excitation est à son paroxisme mais, au moment de se retrouver au lit ma belle me glisse à l'oreille :

"reste ainsi vêtu de ma petite culotte et dors bien, avec ta cage je suis certaine de

pouvoir te laisser patienter jusqu'à demain...je t'aime!"

La nuit fut longue et tumultueuse, pleine de rêves érotiques blottis contre ma

dulcinée, mais dans ces moments la, lorsqu'elle me demande de dormir avec ma cage de

chasteté, je sais qu'il est inutile de la réveiller…

Elle est maître de ma jouissance et je dois m'y plier...je me rendors donc pour de

nouveaux rêves plus osés les uns que les autres.

Au réveil, ma douce me fais des tas de bisous et de caresses puis, alors que mon sexe

est de plus en plus à l’étroit dans sa gaine, elle remonte vers mon oreille et me dit

en me caressant le bas ventre :

"si je t'ouvre, le temps de ta toilette, tu me promets tu de ne pas en profiter?"

J’accepte.

Me voici donc sous la douche, l'anneau qui emprisonne mes bourses toujours en place

mais le sexe à l'air, me permettant ainsi une toilette correcte. Je la vois, elle est la, derrière la porte de la cabine…me regardant faire, elle se caresse, se doigte et finit par jouir d’un long soupir. Lui laissant la place, elle me rappelle que je dois vite remettre ma cage et ne

surtout pas me donner de plaisir.

La regardant faire pipi au travers de sa culotte, je m’accomplis alors et remets la

gaine de la cage en place puis referme le cadenas qu’elle avait déposé à coté espérant

de tendres plaisirs pour ce soir face à une telle obéissance et un tel spectacle. Une fois encagé, alors qu’elle allait entamer sa douche, elle me tend la culotte dans laquelle elle venait de s’abandonner sous mes yeux et me dit de la vêtir pour la journée.

Je m’accomplis de nouveau.

Prêts tout les deux, c’est ainsi vêtu qu’elle m’abandonne pour son travail après un

tendre baiser dont elle a la parfaite maîtrise. La matinée est bien entamée, je suis à la maison aujourd’hui, ma chérie elle, est au travail.

Dix heures sonne et la, ma belle m’envoie un texto :

« je pense fort à toi… »

Je lui réponds que moi aussi, surtout ainsi paré de ma cage et de sa petite culotte

pour la deuxième journée. J’en profite pour faire une pose pipi et, assis sur les toilettes (ma cage m’obligeant à faire pipi comme les femmes), je reçois sa réponse accompagnée d’une photo:

« je me doute mais moi j’ai vraiment pensé à toi, je suis inondée, regarde la photo !»

C’est à cet instant que je regarde la photo jointe découvrant ma belle assise sur les

toilettes de son lieu de travail, la minette ruisselante, les cuisses largement écartées, la culotte auréolée presque aux genoux et les doigts brillants de sa mouille. Je reste bouche bé, elle est si excitante que mon sexe cherche instantanément à faire exploser la gaine qui l’oppresse mais en vain…

La journée se passe, je n’ai plus eu de nouvelle de ma puce…tampis ou plutôt, presque

tant mieux, mon sexe reste calme et au moins, je n’ai plus de douleurs infligées par

ce fourreau qui m’enserre…

Dix neuf heure sonne, j’entends sa voiture arriver ce qui a pour effet de réveiller ma

virilité, ranimer mon envie de lui faire l’amour et surtout de la retrouver, ma petite

coquine qui m’oblige à accepter qu’elle maîtrise mon plaisir pendant qu’elle s’octroie

du bon temps dans les toilettes de son boulot.

Elle rentre, elle est ravissante, tailleur sexy, bas résille, talons hauts vernis…une

vraie bombe sexuelle comme à son habitude. Je la prends dans mes bras, admire son

regard et voyant l’étincelle qui illumine ses yeux, je ne peux m’empêcher de

l’embrasser fougueusement à pleine bouche imaginant qu’elle va me libérer très

rapidement pour que nous nous laissions aller à nos envies mais, c’est alors qu’elle

me stoppe.

Je découvre qu’elle n’est pas seule, Fifi, son collègue de travail est dans la porte.

Je me rajuste et tente de faire bonne présentation lorsque ma douce m’explique qu’elle

lui à proposé de venir boire un café avant qu’il ne reprenne la route. Jusque la, pas

de soucis, ma belle aime bien la compagnie après le travail et c’est régulièrement

qu’elle ramène des collègues ainsi, pour un café ou un apéro.

Malgré mon envie et la gène occasionnée par ma cage de chasteté, je m’empresse de

préparer un café. Sandra et Fifi s’installent au salon, sur notre canapé ou ils

commencent à discuter de tout et de rien.

Je sers le café et partage leur discussion lorsque Sandra, changeant de sujet me

demande du tac au tac et ouvertement devant Fifi : « Alors mon chéri, tu n’es pas

trop à l’étroit ? et ma culotte, a t elle séchée ? » J’en comprends, tout gêné qu’il doit savoir plus de chose que je ne le pensais…je balbutie quelques mots, le souffle coupé par la situation lorsque Sandra reprends la parole en éclatant de rire : « Ne t’en fait pas mon cœur, Fifi ne dira rien à personne surtout que regarde ce qu’il m’a fait avant de partir du travail ! »

Sous mes yeux écarquillés, Sandra écarte les cuisses et me dévoile son entre jambes.

Plus de culotte, je suis étonné et lui en fait la remarque insistant sur le fait

qu’elle mouille beaucoup. C’est à cet instant qu’elle se tourne vers Fifi lui disant « Vas y Fifi, je crois que c’est le moment que tu lui offres son cadeau ! »

Fifi obéi et me tend fièrement la culotte en dentelle que Sandra avait mise ce matin.

Ne sachant plus où j’étais, je prends l’étoffe et, la regardant de plus près, je découvre qu’elle aussi est toute mouillée.

« Mais ???? tu viens de lui retirer ? je n’ai pourtant rien vu depuis la cuisine, moi

qui croyait que vous ne faisiez que discuter de la pluie et du beau temps…Vous m’en

cachez d’autre ou quoi ??? »

Et c’est Sandra qui me répond à nouveau : « Tu n’as qu’à la sentir, je pense que tu

comprendras réellement ton cadeau ! Après ça tu pourras venir voir pourquoi je suis

toute mouillée comme tu viens de me le faire remarquer… »

Je porte donc aussitôt l’étoffe à mes narines. Je reconnais instantanément une l’odeur

de Sandra mais une odeur de sperme frais s’y ajoute…Je rêve les yeux ouverts…Fifi lui

a fait l’amour…milles idées se bousculent dans ma tête…Je suis cocu…oui mais il a du

la besogner et la faire jouir sacrément pour qu’elle soit encore inondée de la sorte…

je ne sais quoi répondre…

Sans un mot je caresse du bout des doigts la vulve de Sandra qui est restée cuisses

écartées. Elle est littéralement inondée, elle dégouline…

Sandra : « Viens plutôt me faire ma toilette, tu verras comme c’est bon… Fifi m’a fait

jouir juste avant de quitter le boulot, il m’a attrapée comme jamais dans les toilettes, regarde comme j’en mouille encore…en plus, je l’ai laissé se vider en moi et dieux sait si il en avait envie vu comme il m’a remplie de son jus…aller, ne fais pas ta fine langue, lèche moi et je te libèrerais ! »

J’étais ailleurs…je ne vivais plus, j’hallucinais, Sandra m’annonçait que j’étais

cocu, que cette étalon lui avait démonté le bas ventre, qu’il s’était répandu en elle

comme si c’était sa femme et moi, au lieu de m’enflammer et de disjoncter, je

m’accomplissais, me retrouvant à genoux entre ses cuisses de rêve à lui lécher la

chatte et boire sa cyprine et le sperme de son amant…je me découvrais, je ne pouvais

plus nié qu’avec la confiance qui régnait depuis bien longtemps dans notre couple et

nos esprits très portés sur la chose, je la voulais « chaudasse » comme on dit dans le

sud. Je découvrais que j’étais même prêt à la prêter si c’était pour notre plaisir à

tout les deux, je devenais candauliste peut être.

Me relevant, la bouche pleine de ces sucs, je découvrais, maintenant avec bonheur, que

pendant que je m’occupais de son intimité, elle avait commencé à sucer Fifi… elle

était ravissante, débordante d’envie, elle devenait femme à mes yeux surtout que je

croisa son regard tant porteur d’amour envers moi. A cet instant même nous étions

amoureux comme jamais. C’est avec grand plaisir et non plus par soumission que je

repris ma place entre ses cuisses, l’invitant à continuer aussi frénétiquement la

gâterie qu’elle était en train d’offrir à son amant.

Mon sexe était prêt à exploser dans la cage qui le retenait prisonnier… A cet instant, Sandra m’écarte la tête de sa vulve béante et ruisselante pour reprendre la main.

  • Au fait mon chéri, tu ne nous a pas répondu tout à l’heure…ma culotte, elle a séchée aujourd’hui ? Fais nous voir, je suis certaine que Fifi va se régaler de te voir ainsi paré.

Je m’exécute alors, laissant Sandra reprendre en bouche le membre viril et tendu de Fifi.

Doucement, je défais ma ceinture sous le regard de Fifi et Sandra qui ne manque pas de se régaler. Ils me regardent enlever mon jean, dévoilant à leurs yeux la petite culotte que Sandra m’avait ordonnée de mettre ce matin.

Les yeux de Sandra pétillent alors que Fifi guide sa tête pour mesurer les vas et viens de la bouche pulpeuse et gourmande qui l’engloutit dans un bruit de sussions qui ne tarde pas de tendre mon membre encore prisonnier dans sa cage.

Tu es ravissant avec ma petite culotte, mon chéri, me lance Sandra, j’admire ton obéissance ! Mais en parlant d’obéissance, oseras tu la mouiller de nouveau en faisant voir à Fifi comme tu aimes toi aussi faire pipi culotte ? Après, c’est promis, si je suis satisfaite de ta cochonceté, je te libèrerais et peut être que toi aussi tu auras le droit de me faire jouir, mais en attendant, c’est Fifi qui va profiter encore une fois de ma petite chatte toute humide.

C’est sur ces paroles que Sandra vint s’empaler sur le membre de fifi. Il l’écartèle, lui ouvrant si largement la vulve que Sandra ne peu retenir ses soupirs de plaisir.

J’adore la situation, Fifi en train de faire jouir ma Sandra adorée... Je m’accompli alors, et par petits jets successifs, comme elle le souhaitais pour mieux admirer, je commence à mouiller la petite culotte que je portais. La sensation était irrésistible. Dans ma cage de chasteté, dans la culotte de ma chérie, sous ses yeux et ceux de Fifi alors qu’ils étaient, maintenant, littéralement en train de baiser en me regardant.

Me retenant de jouir, je laisse aller à gros flots l’urine qui emplissait ma vessie, inondant maintenant la culotte et mon pantalon que je portais encore aux chevilles.

Sandra était ravie et comblée de jouissance.

Dans un dernier jet, je vide complètement ma vessie alors que Sandra hurle le bonheur que lui procurait sa jouissance. Fifi la ramonait littéralement, claquant ses fesses lorsqu’il s’enfonçait au plus profond de son tunnel d’amour.

J’étais là devant eux, trempé et encore entravé par cette cage et cette culotte littéralement trempée. Sandra me fit enlever la culotte qui ne ressemblait plus qu’à un morceau d’étoffe détrempé. Je livrais ainsi à leurs yeux ma virilité encagée. Sandra demanda à Fifi de faire une pause mais il était trop tard, il ne pouvait plus se retenir voyant mon sexe ainsi prisonnier alors qu’il profitait de la chaleur de l’intimité de Sandra. C’est donc sur ces derniers coups de boutoir plus intenses encore, qu’il se vida en elle sous mes yeux alors que je ne pouvais même pas laisser libre court à mon sexe de bander comme il le voulait.

Inondée et le souffle court, Sandra libéra le membre de Fifi. Elle avait la vulve rougie de plaisir, les yeux brillant de bonheur.

C’est alors qu’elle m’ordonna de m’allonger sur le dos avant de venir mettre son pubis sur ma langue déjà à l’affût. Pour la deuxième fois de la journée, je lui faisais sa toilette. La semence de Fifi, mêlée à la mouille de ma dulcinée inondait ma bouche. Sandra était aux anges, fixant Fifi du regard pendant qu’elle se déversait en moi.

« Regarde comme c’est à mon tour de l’inonder, regarde comme il se régale à boire nos jus d’amour ! »

A ces paroles, je cru que la cage de chasteté qui enveloppait mon sexe allait exploser, je suppliais Sandra de me libérer.

Jouissant du plaisir que lui procurait ma langue sur sa vulve et surtout sur son petit bouton d’amour tendu de jouissance, Sandra était aux anges.

Elle ne répondit pas à ma requête mais tendis l’appareil photo à Fifi en lui demandant :

« Prend nous en photo pendant qu’il me mange, il me fait tant de bien…et puis regarde son sexe qui ne demande qu’à sortir de sa cage, n’est ce pas adorable de jouir ainsi ? Je le domine alors qu’il ne peut même pas se caresser… Imm o r t alise nous, prends nous sous tous les angles ! »

Fifi obéit alors, se glissant à mes pieds.

Il ne pouvait manquer mon pantalon trempé entravant mes chevilles, la culotte inondée de Sandra à mi cuisse encore ruisselante, ma cage en plastique bleu assez transparent pour laisser paraître mon sexe tendu et congestionné par l’étroitesse du fourreau. Sandra, lui faisant face, ne pouvait cacher à l’objectif le sexe qu’elle m’offrait, assise sur ma bouche. Je m’en délectais. Son clitoris, tendu de plaisir, venait à la rencontre de ma langue au rythme de ses vas et viens, elle se masturbait sur ma langue qui dardait sa vulve de long en large sans en oublier la moindre parcelle tout en recueillant le maximum de sa liqueur. Les photos allaient être magnifiques, j’en étais certain.

C’est alors que Sandra daigna me libérer. Alors qu’elle continuait à se branler sur ma langue, elle prit les clefs du cadenas qui me tenait enfermé depuis trop longtemps. Elle libéra alors mon membre sous les crépitements du flash de l’appareil.

Fifi n’en ratait pas une miette, lui aussi se doutait que Sandra n’allait pas tarder à jouir de nouveau ainsi maltraité par ma langue vicieuse.

Elle se pencha alors avant de m’engloutir le gland dans un bruit de succion exquis. Quelques vas et viens plus tard, alors que je continuais de la lécher, Sandra laissa mon membre pour me féliciter : « Regarde mon chéri comme ta bite a repris ses proportions, tu bandes de nouveau librement alors vas y, c’est à mon tour de me délecter de ta semence, je veux ton jus au fond de la gorge ! Aller, inonde moi et fais moi jouir du bout de ta langue, c’est toi que je veux maintenant ! »

C’est sur ces quelques mots qu’elle ordonna à Fifi de ne pas en rater une seconde ni une scène, elle voulait être vue. Elle me reprit alors en bouche comme jamais elle ne l’avait fait, elle me dévorait. Je sentais mon gland au plus profond de sa gorge, c’était divin. Sa façon de faire ne me laissa pas tenir très longtemps avant de déverser ma semence comme elle l’attendait avec impatience, bien au fond de sa gorge. Le plaisir fut si intense pour nous deux qu’elle succomba simultanément à un orgasme magistral, tout son corps vibrait sur ma langue alors que Fifi faisait toujours crépiter le flash imm o r t alisant cette scène dans les plus intimes détails.

Après avoir jouis tout les deux, Sandra proposa de s’installer dans le canapé avec Fifi pour regarder ensemble tout les clichés. C’est ainsi que Sandra se retrouva entre nous reprenant son souffle et ses esprits, le temps de regarder et commenter la série de photo.

La fin de soirée s’annonçait câline et coquine…

C’est là que je compris que j’avais eu raison de vivre ainsi cette expérience. Après ce moment offert en priorité à son amant, Sandra redevenait « Ma femme ». Bien que laissant les mains baladeuses de Fifi se promener sur son corps, elle se blottissait de plus en plus contre moi, elle était amoureuse au plus haut point. Elle me couvrait de baisers et de caresses plus douce les uns que les autres malgré la séance de photos qui aurait presque pu laisser croire que j’était son esclave et qu’elle en aimait un autre. Le jeu de rôle qu’avait menée Sandra depuis le matin se déroulait à merveille, chacun avait pris du plaisir mais personne ne s’était égaré dans « son rôle ».

Nous étions donc là, tous les trois sur le canapé, devant le défiler de photos sexy. Les commentaires allaient bon train, surtout voyant le plaisir que prenait Sandra voyant ces images, ce qui ne manquait pas de l’émoustiller à nouveau, son regard la trahissait déjà.

Fifi, lui, était fier de ses œuvres et moi je me régalais à cajoler ma belle alors que j’avais, pour la séance photos, renfilé sa petite culotte trempée qui moulait mon sexe libre, cette fois ci !

L’ambiance et la sensation que me procurait cette culotte humide étaient si sensuelles…

C’est alors que je proposais d’ouvrir le champagne pour fêter cette nouvelle rencontre.

Ainsi vêtu, j’offrais donc une coupe à Fifi et ma dulcinée qui se blottissait déjà contre lui.

Nous trinquions alors que le diaporama touchait à sa fin. J’en profitais alors pour les resservir le temps de m’éclipser pour prendre une petite douche.

Quelques instants plus tard, alors que je me prélassais sous ma douche en repensant à toutes ces expériences nouvelles que j’avais vécues aujourd’hui, le moment de ma vengeance arriva…

Avec tout le champagne que nous venions de boire tout les trois devant ce défilé d’image plus hot les unes que les autres et les multiples jouissances que nous lui avions procuré, Sandra n’en pouvait plus, tambourinant à la porte, elle me suppliais de la laisser aller aux toilettes…je jubilais…

Prenant mon temps, je me séchais, me coiffais, me bichonnais l’écoutant supplier avant que le silence revienne subitement. Je comprenais qu’il se passais quelque chose derrière la porte…

C’est à cet instant que Fifi m’alerta : « Si tu ne veut rien rater, je te conseil d’ouvrir…Elle craquer sous peu vue comme elle se dandine !!! »

Succombant à cette idée, j’entrouvrais la porte, découvrant Sandra se tortillant devant Fifi dont le caméscope ne ratait pas une miette du jeu de jambe de cette belle créature en désespoir…elle trépignait, serrant aux maximum ses cuisses entrelacées…Ses mains passaient de son entre jambe qu’elle serrait avec vigueur à son bas ventre essayant désespérément de le détendre pour contenir encore un temps sa vessie afin de ne pas se souiller. Cet espoir n’était bien évidement sans compter qu’après ce qu’elle m’avait fait vivre depuis la veille, elle n’avait aucune chance que je la laisse s’en sortir à si bon compte. Ceci étant, je tenais à ce que ce moment dure le plus longtemps possible et c’est ainsi qu’une idée me vint à l’esprit…Il fallait qu’elle sache que malgré nos jeux et les liberté que je lui octroyais sur ma virilité, je ne devenais pas son esclave c’est ainsi que je lui imposais un défi :

« Sert nous une autre coupe de champagne et va chercher tes jouets, après, c’est promis, je t’ouvrirais… »

Ce défi allait l’obliger, malgré son envie de plus en plus pressante, dans un premier temps, à aller chercher une nouvelle bouteille de champagne à la cave donc, à emprunter les escalier et subir le changement de température ce qui ne devrait pas jouer en sa faveur puis, dans un deuxième temps, se soumettre à nous en nous apportant notre flûte.

C’est alors que Fifi s’empressa de suivre Sandra afin de filmer face à ce challenge. La vidéo allait être sublime une fois de plus, j’en étais certain. J’attendais avec impatience la dernière phase de cette épreuve… Après avoir souffert comme prévu du changement de température, Sandra souhaita faire une pause avant de nous servir. Je ne pouvais qu’accepter l’idée, me doutant que cette perte de temps allait lui être fatale…

C’est donc après deux petites minutes à tourner en rond seule dans la cuisine que Sandra refaisait son apparition, une flûte dans chaque main.

« Tenez, ces messieurs sont servis ! » s’exclama – t- elle d’un ton qui ne cachait que peu sa crainte de faillir à son envie.

« hep hep hep !!! Prends ton temps, il faut que je vérifie que tu n’a pas perdu, viens, approche et écrate un peu ses si belles cuisses! »

Je profitais du moment pour la soumettre un peu à moi sans grande résistance de sa part tant son envie la tracassait.

Elle étais malgré tout si sensuelle, là, debout face à moi, les mains occupées des flutes qu’elle nous offrait malgré elle. Ses jambes avaient du mal à rester écartées mais je n’en fis pas cas. J’admirais son ventre gonflé et tendu par le volume qu’avait pris sa vessie. On l’aurait cru enceinte de quelques mois !

Alors que je parcourais ce ventre tendu, me laissant aller jusqu’à lui caresser tendrement l’entre jambe pour vérifier qu’elle n’avait pas laisser échapper quelques goûtes de pipi dans la cuisine, Fifi tournait autours de nous avec son caméscope.

Sandra restait médusée par l’idée que mes « vérifications » la fasse défaillir, elle tentait de se concentrer du plus qu’elle pouvait…

Découvrant qu’elle avait rempli avec succès sa première mission, une idée me traversa l’esprit, c’est alors que je me mis à la féliciter de cette réussite.

« Tu as su te maîtriser dans cette première épreuve et te dépasser, je suis fier de toi ! Nous allons donc trinquer à ta réussite ! »

Je sais, je sais, c’était presque irrespectueux de jouer ainsi avec elle alors qu’elle n’en pouvait plus mais le jeu était si tentant que je ne pus me retenir…C’est ainsi qu’avant de la laisser attaquer la dernière mission de ce défi, je l’obligea à trinquer et donc à remplir encore un peu plus cette vessie qui la tiraillait.

Ayant fini sa flûte, non sans peine, je la libérais de sa flûte vide lui permettant d’accomplir son dernier défi…

« Tu as été sage et tu as su te retenir, je t’autorise à monter chercher tes jouets et à ton retour, promis, je t’ouvre ! »

C’est alors qu’elle commença à monter les escaliers pour aller chercher ses jouets qui sont habituellement rangés dans sa table de nuit. Ce dernier supplice était délicieux à admirer, marche par marche, elle montait. Avec tout le mal qu’elle avait, elle était tout de même rendue sur la quatrième marche alors que malgré elle, nous avons pu admirer un premier jet partir malgré elle… elle craquait…

C’est à ce moment même qu’elle me lança un dernier cri de désespoir :

« Je n’en peux plus, je ne vais pas y arriver, laisse moi aller aux toilettes s’il te plait, je t’en supplie, regarde, je n’arriverais pas jusqu’à la chambre, je ne peux plus me retenir, c’est plus fort que moi ! »

Et c’est sur ces derniers mots que, dans un dernier soupir de désespoir qu’elle perdit totalement le contrôle. C’est comme si les sphincters de sa vessie l’abandonnaient. Un jet des plus puissant qu’il puisse être inonda ses suisses, là en plein milieu de l’escalier. La devant nous, elle en jouissait presque. Son pipi ruisselait, malgré elle, à gros flots dans les escaliers, la scène était féerique, nous n'en perdions pas un instant, ni nous, ni l'objectif de Fifi...

C'est donc après c’être régalés tout compte fait tout les trois de cette dernière scène, que nous nous retrouvions sur le canapé, tendrement enlacés autours d’une nouvelle flûte.

Sandra était ravie, Fifi et moi nous occupions d’elle, la caressant à quatre mains. La soirée se termina que très tard dans la nuit après une partie de jambes en l’air mémorable, offrant à Sandra son premier trio et sa première double pénétration dont elle avait rêvé depuis si longtemps sans ne jamais avoir osée passer à l’acte. Mais ce passage sera pour une autre histoire...

Fin…

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